Un réquisitoire implacable contre la « Nomenklatura » scientifique, des découvertes interdites pourtant utilisables et parfaitement efficaces… notamment dans le domaine de la santé voila ce que propose Pierre Lance dans ces 4 ouvrages
Pierre Lance a donné de nombreuses conférences et il a fait paraître, en quarante ans d’activité littéraire ininterrompue, une multitude d’articles, tant dans ses propres revues que dans d’autres publications.
Son oeuvre publiée à ce jour est estimée à 15.000 pages environ.
« SAVANTS MAUDITS, CHERCHEURS EXCLUS »
(Guy Trédaniel Editeur) – Tome I
Pierre Lance a réuni dans ce livre remarquable les biographies résumées de douze personnalités d’exception, qui ont tous fait l’objet d’un article dans notre revue au cours de ses vingt années de parution ininterrompue.
Attention ! ce livre n’est pas un recueil d’articles. A l’exception de quelques paragraphes, le texte est tout à fait inédit et la destinée de chacun de ses héros y a fait l’objet d’une nouvelle étude très fouillée qui plongera les lecteurs dans la stupéfaction, même ceux qui connaissent déjà dans les grandes lignes les parcours de ces personnages hors du commun, qui sont :
Paul Kammerer, biologiste autrichien, qui, en 1924, prouva par des expériences sur les salamandres l’hérédité des caractères acquis. Accusé à tort par des savants américains d’avoir falsifié le résultat de ses expériences, il fut « suicidé » par les nazis, car sa découverte ruinait le dogme de l’immuabilité génétique. Les savants occidentaux maintinrent le dogme, refusant de réhabiliter Kammerer.
Antoine Béchamp, professeur de toxicologie et de chimie médicale à la Faculté de Montpellier, qui découvrit l’élément primordial de la cellule vivante qu’il dénomma « microzyma ». Il démontra que celui-ci pouvait devenir bactérie ou virus et en déduisit le « polymorphisme bactérien ». Il dénonça l’erreur du monomorphisme de Pasteur qui entraînait la médecine vers la phobie du microbe et la négligence du terrain.
Jules Tissot, professeur de physiologie générale au Museum d’Histoire naturelle, qui confirma les thèses du précédent et en apporta les preuves par des photographies de haute précision de cellules végétales et animales. Il démontra que les organismes vivants, quand ils se dérèglent, produisent eux-mêmes bactéries pathogènes et virus. Il fut victime, comme Béchamp, de la conspiration du silence entretenue par les pasteuriens.
René Quinton, scientifique autodidacte, qui découvrit la similitude de notre milieu intérieur et de l’eau de mer. Il acquit en 1906 une célébrité mondiale en sauvant, par l’injection d’eau de mer isotonique, des milliers d’enfants atteints du choléra et il démontra que la transfusion d’eau de mer pouvait remplacer la transfusion de sang. Salué au début du XXe siècle par la presse américaine comme le « Darwin Français », il a été totalement effacé de notre culture.
Marcel Ferru, professeur de sciences fondamentales, titulaire de la chaire de clinique médicale infantile à l’Ecole de Médecine de Poitiers, qui démontra l’inefficacité et la nocivité du vaccin antituberculeux BCG. Il lutta énergiquement mais sans succès contre son obligation légale adoptée en 1958. (La France est le seul pays d’Europe où ce vaccin nocif est encore obligatoire.)
Edgard Nazare, ingénieur d’aéronautique, qui inventa la « centrale aérothermique » constituée d’une tour à vortex capable de créer un cyclone artificiel permanent et produisant une énergie gratuite et non polluante dérivant directement du rayonnement solaire. Il ne parvint jamais à faire expérimenter son invention « gênante » par l’EDF et les pouvoirs publics acquis au nucléaire. Toutes ses inventions furent occultées.
Marcel Macaire, docteur ès-sciences, qui parvint à résoudre les équations posées par Einstein, mit en évidence l’autoconfinement de l’énergie (qui confirme l’identité de la matière et de l’énergie), expliqua la distribution ordonnée de tous les corps célestes et montra que l’effet Doppler ne s’applique pas au photon et que, par voie de conséquence, le dogme de l’expansion de l’univers est erroné. Ses thèses n’ont toujours pas été acceptées par le monde scientifique.
René Jacquier, ingénieur chimiste, qui élucida, en 1947, le processus thérapeutique du « voyage en avion » contre la coqueluche, ce qui lui permit d’inventer un procédé catalytique d’oxygénothérapie efficace contre de nombreuses maladies, notamment cardio-vasculaires. Il établit également l’efficacité de l’oxygénation en traitement anti-cancéreux tant préventif que curatif. Sa thèse ne fut jamais reconnue, ni même examinée, par les Académies des sciences et de médecine.
Antoine Priore, ingénieur électronicien, qui construisit en 1950 une machine rayonnant des champs électriques et électromagnétiques détruisant les tumeurs et les cellules cancéreuses. Malgré les preuves incontestables de son efficacité et le soutien de professeurs d’université bordelais ainsi que de Jacques Chaban-Delmas, son appareil, avec lequel il guérit clandestinement de nombreux malades, ne fut jamais agréé par les cancérologues parisiens.
Jean Solomidès, docteur en médecine, licencié ès-sciences, diplômé de bactériologie, chercheur à l’Institut Pasteur durant huit ans, qui inventa les « physiatrons synthétiques » destructeurs des cellules cancéreuses. Chassé de l’Institut, il ouvrit son propre laboratoire et guérit de nombreux cancéreux. L’Ordre des médecins le poursuivit pour « exercice illégal de la médecine » car il était médecin de l’Université (non de la Faculté), et ne pouvait donc être inscrit à l’Ordre pour exercer, bien qu’ayant toutes les compétences requises.
Mirko Beljanski, docteur ès-sciences, chercheur en biologie moléculaire à l’Institut Pasteur pendant trente ans, puis en Faculté de pharmacie pendant dix ans, qui inventa des produits efficaces contre le cancer (utilisés avec profit par François Mitterrand) ainsi que contre le sida. Il créa son propre laboratoire et put guérir de nombreux malades. Sur plainte de l’Ordre des pharmaciens, il fut arrêté, menottes aux mains, à l’âge de 73 ans, puis persécuté judiciairement jusqu’à ce que mort s’ensuive.
Loïc Le Ribault, docteur ès-sciences, inventeur de l’exoscopie (technique d’analyse au microscope électronique à balayage), ancien expert en microanalyse près la Cour d’Appel de Bordeaux, rénovateur de la police scientifique française et créateur du G5, efficace en thérapie contre de nombreuses maladies, qu’il ne put jamais faire agréer en France (mais qui l’est dans le Commonwealth). Poursuivi par l’Ordre des médecins, il fut emprisonné durant deux mois et demi. Il décéda en 2007.
«Savants maudits, chercheurs exclus» – 288 pages, 18,30 euros – Guy Trédaniel Editeur. – Par correspondance : à «L’Ere nouvelle», BP 171, 06407 Cannes cedex : 22 euros port inclus. (Pour toute commande de 2 exemplaires (44 E), un 3e est offert.)
Extrait du livre : AVANT-PROPOS
Je présente dans ce livre les biographies très résumées de douze grands scientifiques et chercheurs contemporains, citoyens français ou ayant choisi la France pour seconde patrie (à l’exception du premier), tous convaincus à l’origine que le soi-disant « pays des droits de l’homme », qui était au XIXe siècle en tête de toutes les nations pour le nombre et la qualité des découvertes scientifiques et des inventions, ne pouvait qu’être la terre promise des chercheurs indépendants de toutes les disciplines.
Ce qu’ils ignoraient ou ne prévoyaient pas, c’est que la France jacobine allait devenir peu à peu au cours du XXe siècle une technocratie absolue dominée par les clergés scientistes, les réseaux scolastiques, les clans bureaucratiques, les pseudo-services publics et les groupes d’intérêts, et qu’il y serait désormais impossible à un chercheur indépendant de faire accepter ses travaux et ses découvertes, quelle que soit leur valeur, et même a fortiori si cette valeur s’avérait grande.
Chacune des personnes présentées dans cet ouvrage mériterait à elle seule un volume entier, et il va sans dire que cette liste est loin d’être exhaustive. Ne connaissant que trop bien les tares de la société française, que j’étudie depuis près de quarante années, je ne doute pas qu’elle ne recèle dans tous les domaines des dizaines, sinon des centaines, d’esprits d’insigne envergure condamnés par la « nomenklatura » à n’être jamais de leur vivant connus du grand public, si même ils devaient l’être un jour longtemps après leur mort.
Je me suis donc limité dans ces pages aux personnes dont j’ai eu la chance de bien connaître les travaux, dans le cadre de mes recherches au service de la revue de prospective « L’Ere nouvelle », que je dirige depuis vingt ans. J’ai d’ailleurs eu l’honneur de connaître certaines d’entre elles personnellement. Il s’agit donc d’un choix circonstanciel et arbitraire qui ne préjuge en rien des mérites de celles qui seraient dignes d’y figurer et qui n’y figurent pas. Elles voudront bien me pardonner de n’avoir point le don d’ubiquité. Mon plus cher désir serait d’ailleurs d’ajouter un autre volume, et pourquoi pas deux ou trois, à ce répertoire de chercheurs victimes de la conspiration du silence.
Dois-je préciser que si ce livre ne présente que des chercheurs masculins, ce n’est évidemment pas un choix ? J’y eus volontiers intégré quelques femmes s’il s’en était trouvé de telles sur ma route, mais je n’en ai pas rencontré. Toutefois, il faut noter que les compagnes de certains de mes héros ont joué dans leur aventure des rôles essentiels, comme Madeleine Ferru, Michelle Solomidès et Monique Beljanski, par exemple.
Certains lecteurs s’étonneront peut-être de constater que la majorité des scientifiques présentés dans ces pages ont exercé leurs talents dans le domaine médical. Cela tient essentiellement à la situation particulière de notre pays à cet égard, mais aussi au fait que notre revue est particulièrement attentive aux questions de santé, qui reflètent assez exactement l’état profond d’une société. Plusieurs facteurs se sont en effet conjugués dans notre pays pour aboutir à une dépendance des citoyens, en ce qui concerne les thérapies, beaucoup plus forte que dans les autres nations développées.
Ce fut tout d’abord la gloire excessive et largement usurpée de Louis Pasteur, incontestable génie en relations publiques et véritable mythe national, qui orienta toute notre médecine vers une bactériophobie occultant dramatiquement les réalités du terrain organique de chaque individu.
De plus, en fondant l’Institut qui porte son nom, et pour lequel il sut faire jouer de nombreux appuis politiques et financiers, Pasteur créa un puissant groupe de pression capable de peser fortement sur les décisions des pouvoirs publics. (C’est ce qui explique que l’on vaccine aujourd’hui en France plus que partout ailleurs et en dépit du bon sens).
A cela s’ajouta la création en 1940 par Philippe Pétain d’un Ordre des Médecins doté de pouvoirs exorbitants. Et enfin l’apparition en 1945 de la Sécurité Sociale, exerçant sur les citoyens comme sur les entreprises des contraintes radicales, d’ailleurs juridiquement incompatibles avec la constitution républicaine, mais contre lesquelles aucun « représentant du peuple » n’osa jamais protester.
Certes, des organismes plus ou moins similaires naquirent dans les autres pays industriels, mais ils ne bénéficièrent pas comme en France d’une collusion permanente avec l’appareil de l’Etat. Cet enchevêtrement de féodalités toutes-puissantes associé au centralisme étatiste devait bientôt réduire à néant l’autonomie des citoyens français en matière de maladie. Il découle de cette situation que lorsque des esprits créatifs et inventifs se trouvent confrontés, parfois dans leur entourage immédiat, à quelque problème de santé que la médecine conformiste ne peut résoudre de façon satisfaisante, ils sont conduits d’instinct à appliquer leurs talents au domaine thérapeutique, même lorsque rien ne les prédestinait à cela. C’est la raison pour laquelle on trouve en France, dans la sphère des thérapies, plus de « savants maudits » que partout ailleurs. Et tel est le paradoxe qui nous laisse une lueur d’espoir : moins les Français sont libres de se soigner à leur guise, et plus fleurissent parmi eux les esprits libres et rebelles préparant sous le manteau les voies de l’avenir.
Si certains de mes lecteurs s’estimaient insuffisamment informés de ces problèmes, je les renvoie aux divers ouvrages cités en bibliographie à la fin de ce volume, et plus particulièrement à ceux de mon excellente consoeur Sylvie Simon, courageuse combattante sur le front de la santé, et notamment à son livre-réquisitoire «La dictature médico-scientifique» (Ed. Filipacchi, 1997)
Dans les domaines de la santé et de l’alimentation, qui sont intimement liés, l’augmentation constante des cancers, leucémies, hépatites, allergies, etc… et une suite ininterrompue de scandales sanitaires : rétention d’information lors des irradiations du nuage de Tchernobyl, sang contaminé, hormones de croissance, vache folle…, démontrent les profondes dégradations simultanées de notre système de soins, de notre agriculture chimique et de nos structures politico-administratives.
Dans le domaine plus général de la science, qui influence directement le précédent, la fuite des cerveaux, la baisse constante du nombre de nos brevets comparativement aux autres nations développées, la marginalisation et l’obstruction, quand ce n’est pas la persécution, auxquelles se heurtent les novateurs et inventeurs indépendants, portent preuve d’une sclérose alarmante de la communication scientifique en France, avec toutes les graves conséquences que l’on peut imaginer dans un monde où règnent la concurrence économique, la pollution généralisée et le développement accéléré des nouvelles technologies.
Aussi je forme le voeu que ce livre, tout en rendant justice à des créateurs valeureux, donne le signal d’une profonde réforme de la société française, faute de quoi le « Mal français », si magistralement diagnostiqué par Alain Peyrefitte dès 1976, et qui n’a cessé d’empirer, finirait par inscrire la France au triste catalogue historique des nations déchues.
SAVANTS MAUDITS, CHERCHEURS EXCLUS Tome 2 de Pierre Lance
Après le succès rencontré par le premier tome de ce livre, et à la demande de son éditeur, Pierre Lance a rédigé un second recueil de douze autres mini-biographies de personnalités du monde scientifique qui furent, elles aussi, « mises en quarantaine », sinon pire, par la nomenklatura dogmatisante qui enferme la science et la médecine dans un conformisme stérilisant. Ces pionniers contestés ou méconnus sont :
Nikola Tesla, ingénieur américain d’origine serbe, qui fut un des pionniers de l’électricité et le promoteur du courant alternatif aujourd’hui mondialement adopté. Il parvenait au cours de ses expériences à produire dans un bruit de tonnerre des éclairs de 40 mètres et il découvrit le moyen d’utiliser la Terre comme une prise électrique géante pour produire de l’énergie électrique en quantité illimitée. Après sa mort, cette invention fut occultée et jamais exploitée.
Linus Pauling, biochimiste américain mondialement connu, Prix Nobel de chimie 1954 et Prix Nobel de la Paix 1963. Bien qu’unanimement célébré, il fut soudain violemment critiqué et mis à l’index lorsqu’il développa sa théorie selon laquelle le cancer peut être mis en échec par la simple prise de Vitamine C à hautes doses. Le corps médical fut contraint d’admettre la valeur de cette vitamine, mais déconseilla les fortes doses et n’admit que les doses minimes sans véritable effet thérapeutique.
André Gernez, ancien médecin-chef à l’hôpital de Roubaix, qui découvrit dans les années soixante le moyen de stopper toute apparition du cancer par la prise périodique d’un sédatif léger couramment utilisé pour les nourrissons et ne présentant aucun effet secondaire. Bien qu’ayant retenu un moment l’attention du gouvernement américain du Président Nixon, cette découverte fut finalement étouffée en France comme aux U.S.A
Gaston Naessens, inventeur en 1945 d’un médicament anti-cancéreux très efficace, grâce à un microscope révolutionnaire mis au point par lui-même. Il fut poursuivi et condamné en France pour exercice illégal de la médecine et il dut, en 1964, s’exiler au Québec, d’où il continue de diffuser son produit vers 80 pays, malgré les ennuis que lui créent parfois les autorités médicales canadiennes.
David Rees-Evans, guérisseur gallois héritier d’une longue tradition familiale en phytothérapie, qui parvenait à détruire les tumeurs cancéreuses avec des cataplasmes de plantes. Malgré divers procès, sa notoriété due à ses succès ne cessa de s’étendre en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis. La pression de l’opinion publique obtint du gouvernemental Britannique la nomination d’une Commission d’enquête officielle, mais celle-ci contesta ses résultats et tenta de le discréditer.
Jean-Pierre Maschi, médecin généraliste niçois qui découvrit dans les années 60 que la « pollution électrique » était la cause principale de la sclérose en plaques. Il mit au point un traitement efficace pour la soigner. Ses nombreux succès lui valurent les premières pages de la presse et une accusation de publicité par l’Ordre des médecins, qui le radia à vie. Sans se soucier de cette radiation, il continua de soigner de nombreux patients.
Paul Thépenier, ingénieur des arts et métiers, spécialiste des exploitations pétrolières, qui découvrit avant la guerre de 1940 le moyen de soigner avec succès la tuberculose et le cancer grâce à des moisissures de pétrole. Encouragé par un professeur de médecine, il put effectuer en milieu hospitalier des essais réussis. Mais toutes ses communications à l’Académie de médecine furent ignorées et sa découverte fut négligée.
Pierre Delbet, grand patron chirurgien, membre des Académies de médecine et de chirurgie, qui découvrit durant la guerre de 14-18 l’effet régénérateur et anticancéreux du chlorure de magnésium. Il prouva la validité de cette thérapie par de nombreuses expériences ainsi que par des cartes géographiques faisant apparaître la bien moindre fréquence du cancer dans les régions riches en magnésium, mais il ne parvint jamais à persuader ses confrères de proposer une politique préventive du cancer.
Auguste Lumière, co-inventeur du cinéma, qui consacra la seconde partie de sa vie à des recherches médicales très poussées et couronnées de succès, notamment contre la tuberculose. Auteur de plus de 20 ouvrages médicaux, créateur de 150 spécialités pharmaceutiques et d’une clinique lyonnaise réputée employant 15 médecins et 30 collaborateurs, il ne put jamais faire reconnaître officiellement la valeur de ses travaux et son oeuvre tomba dans l’oubli.
Norbert Duffaut, chimiste qui découvrit en 1957 le silicium organique et ses vertus thérapeutiques et régénératrices. Il put apporter, au cours d’essais hospitaliers, la preuve de son efficacité contre le cancer et les maladies cardio-vasculaires. Malgré des succès spectaculaires et des demandes réitérées, il ne réussit jamais à obtenir l’autorisation de mise sur le marché de son DNR comme médicament.
Jacques Benveniste, interne des hôpitaux, directeur de recherche à l’Inserm, qui découvrit en 1984 le phénomène dit « de la mémoire de l’eau », lequel explique l’efficacité des hautes dilutions homéopathiques (volumes aquatiques dans lesquels toute trace de la molécule initialement diffusée a disparu). Il expliqua leur effet par la transmission d’informations imprégnées, de surcroît enregistrables et transmissibles par Internet. Il subira toujours l’ostracisme des cénacles officiels jusqu’à son décès en 2004.
Louis Kervran, biologiste qui découvrit dans les années 60 la réalité des transmutations biologiques, c’est-à-dire la transformation des atomes à l’intérieur des organismes vivants, analogue aux transmutations revendiquées par les alchimistes médiévaux. (C’est ainsi que les poules qui ne trouvent pas de calcaire dans leur environnement picorent les parcelles de mica que leur corps transforme en calcaire pour édifier les coquilles d’oeufs). Malgré les nombreuses preuves qu’il apporta de ce que l’on appela après lui la « fusion froide », le monde scientifique refuse encore de croire à cette possibilité qui ouvrirait à la science de larges horizons énergétiques et biologiques.
SAVANTS MAUDITS, CHERCHEURS EXCLUS Tome 3 de Pierre Lance
Présentation des 12 scientifiques composant ce troisième tome :
Après le succès rencontré par les deux premiers tomes de ce livre, Pierre Lance a rédigé un troisième recueil de douze autres mini-biographies de scientifiques occultés ou marginalisés par la caste des mandarins qui considère la science comme sa » chasse gardée « . Ce qui porte donc à trente-six le nombre de ces pionniers méconnus de toutes nationalités, galerie de portraits révélant le malaise profond d’une civilisation sclérosée qui se prive elle-même des sources du renouveau. Les personnalités de ce troisième volume sont :
Georges LAKHOVSKY – Ingénieur russe émigré en France, inventeur d’un tire-fond révolutionnaire (vis qui fixe les rails de chemin de fer) ayant amélioré la sécurité des trains. Il créa en 1923 son premier appareil émetteur à usage thérapeutique, l’oscillateur à ondes multiples, qui put guérir de nombreux cancéreux. La médecine officielle refusa de reconnaître la valeur de l’appareil, malgré les multiples témoignages de praticiens de tous pays qui l’utilisèrent avec succès.
Royal Raymond RIFE – Ingénieur américain, qui mènera aux USA des travaux analogues à ceux de Lakhovsky et construira des appareils également efficaces. Il fut le premier chercheur à identifier et photographier au microscope le bacille de la tuberculose. Ayant refusé de se plier aux exigences du dirigeant corrompu d’une grande association médicale, il sera traîné en justice et complètement ruiné. Malgré une reconnaissance tardive, il terminera sa vie dans une misère totale.
Jean BERTIN – Ingénieur français, inventeur de l’Aérotrain, le premier train à grande vitesse se déplaçant sur coussin d’air et qui atteignit la vitesse record de 440 km/heure. Bien que soutenu par de nombreux ministres, mais contré par les dirigeants de la SNCF, son train performant ne sera jamais agréé, malgré des coûts d’installation et d’exploitation très inférieurs à ceux du TGV lancé ensuite.
Alexandre SALMANOFF – Prestigieux docteur russe (diplômé des Facultés de Moscou, de Berlin et de Pavie) qui fut chargé durant la révolution d’organiser la lutte contre la tuberculose et de réorganiser les stations thermales sur l’ensemble du territoire russe et devint le médecin particulier de Lénine. Non communiste, il émigra en France en 1922, où il élabora une méthode complète de médecine naturelle que le corps médical refusa d’examiner.
Ivan MAKHONINE – Ingénieur russe ayant réalisé le premier train électrique qui fonctionna durant deux années entre St Petersbourg et Moscou. Il émigra en France en 1922. Il avait inventé un carburant révolutionnaire ininflammable à froid et qui était extrait des charbons et huiles lourdes. Extrêmement économique et trois fois plus performant que l’essence, ce carburant ne parvint jamais à être agréé et l’inventeur se heurta aux trusts pétroliers jusqu’à la fin de sa vie.
Ernest VILLEQUEZ – Professeur de médecine français, il découvrit le parasitisme latent du sang et inventa un test de dépistage du cancer permettant de déceler des micro tumeurs qu’aucune autre technique ne permet de découvrir. Malgré un taux de réussite de 95 %, les » grands patrons » cancérologues n’acceptèrent jamais de le pratiquer.
Michel MOIROT – Médecin français qui découvrit l’importance des traumatismes psychologiques dans la genèse du cancer. Il se livra à de longues études sur des patients en milieu protégé, en l’occurrence au sein des confréries religieuses. Malgré une démonstration rigoureuse et des confirmations multiples, il ne put faire admettre sa théorie par les mandarins, qui refusèrent d’abandonner à la psychologie une partie de leur » domaine réservé « .
Ryke Geerd HAMER – Médecin allemand qui fit la même découverte que Moirot, à la suite d’un drame familial (le meurtre de son fils) qui déclencha un cancer chez lui et chez son épouse. Il mit au point un traitement original appelé » médecine nouvelle » grâce auquel il put guérir de nombreux malades. Mais il fut radié du corps médical en Allemagne et en Autriche, puis poursuivi et condamné en France, où il est actuellement en prison.
Philippe LAGARDE – Médecin français qui perfectionna une technique de dépistage du cancer élaborée par le chercheur allemand Henri Heitan. Il mit au point un traitement anticancéreux efficace à base de produits autorisés en Suisse. Poursuivi sur plainte de l’Ordre des médecins, il fut emprisonné à Nice. À sa sortie de prison, il s’exila vers l’Italie et il créa en République de San Marino le Centre Health Service, où il dirige une équipe médicale performante pratiquant toutes les thérapies efficaces.
Hans NIEPER – Médecin allemand réputé, il combattit toute sa vie le conformisme médical et inventa des traitements originaux efficaces que le corps médical continue d’ignorer. Également physicien, il créa l’Association allemande pour l’énergie du champ du vide, qui encouragea de nombreuses expériences dans la recherche de nouvelles énergies, notamment sur » l’eau combustible « , permettant de faire fonctionner un moteur » brûlant » 90 % d’eau.
Joël STERNHEIMER – Physicien français qui a inventé un procédé de régulation de la synthèse protéique exploitant l’influence de la musique sur les organismes vivants. Ses expériences ont démontré que la mélodie spécifique d’une protéine, si elle est amplifiée et diffusée à proximité immédiate d’un organisme, peut stimuler en lui la synthèse de cette protéine. C’est ainsi que la production d’un plant de tomate a pu être multipliée par vingt. Si cette technique était appliquée, le problème de la faim dans le monde serait résolu.
Jean-Pierre PETIT – Physicien français marginalisé par la nomenklatura scientifique pour son originalité, dérangeante dans de nombreux domaines, dont les futurs voyages spatiaux. Seul spécialiste français compétent en MHD (magnétohydrodynamisme), il s’est illustré en réalisant des systèmes de propulsion approchant les performances réalisées par les OVNIs, dont la réalité et la provenance extra-terrestre ne font pour lui aucun doute. L’Etat a essayé d’exploiter ses travaux tout en l’écartant des expériences, ce qui a conduit à l’échec.
SAVANTS MAUDITS, CHERCHEURS EXCLUS Tome 4 de Pierre Lance
Présentation des 12 scientifiques composant ce troisième tome :
Viktor Schauberger – Naturaliste autrichien qui découvrit dans les années trente comment produire une énergie égalant 127 fois celle obtenue par les moyens classiques. Aujourd’hui méconnu.
Emilia Masson – Archéologue française qui découvrit dans le massif du Mercantour les traces d’un très antique culte religieux. On dégrada le site pour la discréditer.
André Berthier – Archéologue français qui trouva à La Chaux-des- Crotenoy le site authentique de la bataille d’Alésia. Il mourut sans avoir réussi à faire triompher la vérité historique.
Jean Elmiger – Médecin homéopathe suisse qui mit au point la méthode «homéopathie séquentielle». Malgré l’accumulation des preuves de validité, il se heurte à l’hostilité du corps médical.
Jean Laigret – Médecin et bactériologiste français qui parvint à fabriquer du pétrole à partir de cultures bactériennes. Son invention est demeurée inexploitée à ce jour.
Yvette Parès – Docteur en sciences et en médecine qui devint praticienne des thérapies traditionnelles africaines et prouva leur efficacité contre la lèpre, le paludisme et le sida. En vain.
Marcel Violet – Ingénieur français inventeur d’un traitement électrovibratoire de l’eau dynamisant l’agriculture ou la santé humaine. Jamais reconnu par la science «officielle».
Raoul Estripeaut – Professeur français d’anthropologie pathologique qui inventa un remède anticancéreux très efficace à base d’enzymes pancréatiques, méprisé par les cancérologues.
Arthur Vernes – Médecin français vainqueur de la syphilis qui créa en 1920 un des meilleurs tests de dépistage précoce du cancer, ainsi qu’un traitement efficace, tous deux oubliés.
Matthias Rath – Médecin allemand créateur du concept de médecine cellulaire et spécialiste de la vitaminothérapie. Bête noire de la «nomenklatura » médicale qu’il défie sur Internet.
Félix d’Hérelle – Médecin québécois qui fit carrière en France et inventa un excellent traitement des maladies infectieuses par des virus bactériophages. Mondialement connu puis oublié.
Hulda Clark – Doctoresse canadienne spécialiste en physiologie cellulaire, qui a traité plus de 2000 cancers et accompli six mois de prison aux Etats-Unis avant d’être libérée sur un non-lieu.