C’est sur une base de 6.500 dossiers de patients (puis plus tard, sur base de 20.000 dossiers) que le docteur Hamer découvrit et énonça cinq lois scientifiques qui se vérifient dans 100% des cas (comme toutes les lois de la physique, par exemple).
Ces cinq lois suffisent, à elles seules, pour expliquer la genèse de toutes les maladies, leur mode d’évolution et de guérison, le rôle du cerveau, le lien entre l’évolution spécifique de chaque maladie avec l’embryologie, le rôle des microbes dans le processus de guérison, et même le sens biologique de la maladie.
Le docteur Hamer est le premier médecin à proposer une cartographie très précise des relations entre un choc conflictuel, le cerveau et un organe du corps atteint par le cancer.
Sa découverte a toujours été vérifiée à 100% par toutes les personnes qui l’ont utilisée.
Dr Ryke Geert Hamer
Ce médecin allemand découvre en 1979 que son cancer testiculaire a suivi le choc de l’assassinat inattendu de son fils Dirk alors âgé de dix-neuf ans.
Il examine 170 dossiers de patients et découvre qu’ils ont tous vécu un choc émotif important avant l’apparition de leur cancer.
Il a poursuivi ses recherches sur plus de 15.000 cas et a découvert quatre lois biologiques:
1. La loi des relations psycho-cérébro-organiques
2. La loi des deux phases de la maladie
3. La loi des symptômes des deux phases de la maladie.
4. La loi du système ontologique des microbes
1. La loi des relations psycho-cérébro-organiques
– Toute maladie du cancer débute par un DHS (Dirk Hamer Syndrom), c’est-à-dire, un choc conflictuel extrêmement brutal, dramatique et vécu dans l’isolement, qui à l’instant du DHS provoque au cerveau un foyer de Hamer et le démarrage du cancer dans l’organe.
– A l’instant du DHS la teneur du conflit détermine aussi bien la localisation du foyer de Hamer au cerveau que la localisation de la tumeur cancéreuse dans l’organe.
– A partir du DHS, il y a corrélation entre l’évolution du conflit, celle de la modification du foyer de Hamer au cerveau et celle de la tumeur cancéreuse dans l’organe.
Par conflit, le docteur Hamer mentionne, non pas un conflit de type psychologique, au sens psychiatrique, mais un conflit biologique.
Sa définition du conflit s’adresse aussi bien à l’animal, à l’homme qu’au végétal.
Il s’agit donc d’un choc qui arrive à l’improviste et qui touche d’abord l’organisme et seulement ensuite le psychique qui lui le colore à sa manière.
Lorsqu’il mentionne qu’un cancer du sein gauche, chez une droitière non ménopausée, est provoqué par un DHS mère/enfant, il mentionne la façon dont a été vécu le conflit.
Ainsi, si la patiente a eu un conflit avec son mari et qu’elle considère ce dernier comme un enfant, la coloration est celle du DHS mère/enfant.
Un autre exemple. Une femme qui, d’une manière imprévue, surprend son époux en flagrant délit d’adultère ne va pas forcément vivre un DHS sexuel et développer un carcinome du col utérin. Elle peut vivre ce drame comme un profond sentiment de dévalorisation et développer un cancer des os du bassin ou vivre cela comme une trahison et développer un cancer du sein droit (une blessure plus profonde, plus intériorisée, se traduira par un cancer de la plèvre droite. Si elle est ménopausée (donc hormonalement masculine)et qu’elle vit ce drame comme un conflit de territoire, elle pourra développer un carcinome bronchique. Si elle ressent cela plutôt comme une « cochonnerie » elle développera un carcinome de la vessie. Si elle se sent souillée, se sera un cancer de la peau, etc…
Que se passe-t-il lors du DHS?
Dès que le conflit imprévu a touché la personne, l’organisme se branche immédiatement sur le système nerveux autonome orthosympathique : le système nerveux de l’action et du combat. C’est la phase dite de sympathicotonie.
L’organisme tourne alors à plein régime pour trouver une solution, au détriment de la détente, du repos et du besoin de s’alimenter.
Pendant qu’il est absorbé par son conflit, il y a élévation de la pression artérielle, accélération des rythmes cardiaques et respiratoire, ralentissement de la motilité (mouvement) du tractus digestif et de la sécrétion des glandes intestinales.
Le regard est fixe, les mains sont glacées et moites.
Au même moment, un endroit précis du cerveau est sollicité et cette zone cérébrale responsable d’une activité précise du corps enclenche un processus particulier en relation avec l’embryogenèse pour tenter de solutionner le conflit.
Il s’agit d’une solution archaïque de l’organisme utilisée au début de l’évolution des espèces pour survivre et s’adapter à un environnement menaçant.
C’est l’apparition des premières cellules cancéreuses.
2. La loi des deux phases de la maladie
Toute maladie est biphasique dans son évolution biologique.
Cette dualité dans l’évolution des maladies avait déjà été appréhendée dans le passé lorsque les médecins parlaient alors de maladies froides et de maladies chaudes.
En fait, il y a deux types de maladies ou, plus exactement deux types de symptômes. Une série de symptômes sont en relation avec des réactions biologiques provoquées par le DHS et sont classées parmi les maladies froides. D’autres pathologies ont été considérées comme des maladies chaudes alors qu’il s’agissait tout simplement de symptômes provoqués pendant la phase de guérison.
Le Dr Hamer nous vient en aide grâce à sa découverte et nous permet de comprendre qu’il s’agit en fait d’un processus biologique normal de notre système nerveux autonome.
Ce système est double.
Le système nerveux sympathique régit ce que nous pourrions appeler la fonction de l’action et du combat. C’est lui qui nous permet de créer les hormones capables de nous pousser à l’action, qu’il s’agisse de nous défendre ou de nous enfuir.
Le système parasympathique aide notre organisme à se mettre au repos et à réparer les dégâts du stress. Cela ne se fait pas sans inconvénient et inconfort. Ainsi, la fièvre est un des processus de guérison et sa gestion convenable permet le retour à une santé normale.
Utilisons une image. Si vous êtes agressé chez vous, il ne vous reste plus, si vous ne voulez pas mourir, qu’à vous défendre ou réussir à vous enfuir. Pendant votre siège et votre combat pour la vie, votre cerveau va obliger votre corps à vous donner toute l’énergie pour vous défendre en retirant l’énergie aux endroits qui ne sont pas indispensables. Plus question de manger et de dormir, les extrémités des membres deviennent froides. Vous êtes, ce que l’on appelle en sympathicotonie. Le stress est maintenu pour permettre le combat. Dès que la guerre est terminée, il va falloir réparer les dégâts dans les habitations, se restaurer et dormir pour récupérer. De même un stress psychique peut être vécu comme une guerre. Tant que le combat n’est pas terminé, il n’est pas possible de réparer.
Dès que le stress se termine, il y a inversion du système nerveux et l’organisme se branche sur le système parasympathique.
Le patient qui avait alors les mains glacées dû au stress s’aperçoit que ses mains sont bouillantes, qu’il a faim et qu’il n’a plus qu’une envie, celle de dormir. De plus, pendant les réparations par les ouvriers biologiques, amenés par les voies fluviales, il y a une période d’inconfort et de perturbation avant de retrouver le calme après la tempête.
Pendant cette période, la plupart des symptômes sont considérés comme des aggravations.
Suivant le type de tumeur et sa localisation, les réactions peuvent être alarmantes pour le patient et le corps médical qui ne connaissent pas la loi biphasique des maladies de la Médecine Nouvelle du Dr Hamer.
Si la peur apparaît à ce stade, les ouvriers, croyant que le traité de paix a été baffoué, s’arrêtent de réparer. La guérison est ralentie ou arrêtée selon l’intensité du stress.
3. La loi des symptômes des deux phases de la maladie.
Pendant la gestation le cerveau est constitué de quatre feuillets embryonnaires. Tous les organes du corps sont en relation avec ces quatre feuillets et les quatre parties du cerveau correspondantes : le tronc, le cervelet, la moelle et le cortex.
Selon que le conflit est dans sa phase non solutionnée (active) ou solutionnée (passive) il y a aura soit une augmentation (+) de la masse, soit diminution (-), par exemple, ulcère ou nécrose.
Pour le cortex, se sera soit un arrêt (-/Off), soit une aggravation (+/On) de la fonction.
4. la loi du système ontologique des microbes
Le docteur Hamer apporte ici également une révolution en plaçant ce système en relation avec les trois feuillets embryonnaires.
1. Les microbes archaïques, à savoir les champignons et les micobactéries, sont à mettre en relation avec l’endoderme, et, jusqu’à un certain point avec le mésoderme cérébelleux pour tous les organes régis par le tronc cérébral (bulbe rachidien, pont, mésencéphale et cervelet).
2. Les microbes anciens, à savoir les bactéries, sont à mettre en relation avec le mésoderme et tous les organes qui en sont constitués.
3. Les microbes jeunes, à savoir les virus, qui à proprement parler ne sont pas de vrais microbes, c’est-à-dire pas des êtres vivants, sont à mettre en relation avec l’ectoderme, pour les organes régis par le cortex.
Seule exception à cette règle : la zone limitrophe des organes mésodermiques régis par le cervelet, qui sont traités aussi bien, et principalement, par les champignons parasites et les micobactéries que, moins fréquemment, par les bactéries, qui normalement sont à mettre en relation avec le mésoderme régi par la moelle du cerveau.
Les microbes que nous avions toujours pris pour des « ennemis », cherchant à nous anéantir, s’avèrent ici de précieux auxiliaires. Ils sont les éboueurs et les restaurateurs bienfaisants de notre organisme. Ils ne se mettent au travail que sur ordre du cerveau lorsque la phase de stress est terminée.
Dans la phase sympathicotonique, alors que le système immunitaire est déficient, nous ne trouvons pas d’activité microbienne.
Dans la phase vagotonique, alors que le système immunitaire tourne à plein régime (fièvre, leucocytose, etc.) les microbes ne sont pas le moins du monde incommodés et continuent à faire leur boulot allègrement. Ces mêmes microbes, alors « apathogènes » dans la phase de stress devenaient soudain « pathogènes » et extrêmement virulents lorsque le stress cessait.
Il existe trois sortes d’ouvriers:
– ceux qui ont pour mission d’enlever les ordures (éboueurs), par exemple, le mycobactérium tuberculosis, qui déblaie les tumeurs intestinales du feuillet endodermique pendant la phase vagotonique.
– ceux qui nivellent le terrain et sont chargés de boucher les cratères. Par exemple, les virus, qui ont pour mission de combler les pertes de substance. On ne trouve d’ulcère et de virus que dans la seule phase de guérison et uniquement dans les organes ectodermique.
– ceux qui ne « traitent » jamais que des organes détériorés (nécrosés, ostéolysés) du feuillet mésodermique et que nous pouvons considérés, dans la phase vagotonique, comme des buldozers qui déblaient les décombres pour que l’on puisse construire une maison, c’est-à-dire pour que l’organisme puisse se rebâtir sur de solides assises.
La sélection du foyer du conflit se fait par une association inconsciente.
Par exemple, un conflit biologique concernant l’eau mais aussi d’autres liquides, tels que le lait ou l’huile, entraîne un cancer du rein. La peur de la mort entraîne un cancer du poumon et le fait d’avaler psychologiquement quelque chose de trop difficile à digérer provoque un cancer de l’estomac ou de l’intestin. À l’origine, dans le monde animal, il s’agissait réellement d’un gros morceau de nourriture mais pour nous il peut s’agir de charges financières excessives ou de toute autre obligation que nous avons contractée et que nous ne pouvons pas honorer. Toutefois, le foyer cible n’est pas déterminé par l’événement lui-même, mais plutôt par la signification psychologique qu’il a pour nous au moment où il survient.
Le Dr. Hamer illustre cela avec l’exemple d’une femme qui trouve son mari au lit avec une autre femme. En tant que frustration sexuelle, cela déclenche un cancer de l’utérus. Par contre, si elle perçoit cela comme un conflit avec le partenaire, alors une droitière développera un cancer du sein droit. Si elle éprouve de la peur et de la répugnance, elle souffrira d’hypoglycémie. Avec un manque d’estime de soi, on pourra voir apparaître un cancer de l’os pubien. Si le manque d’estime de soi était dû à un échec au niveau sportif plutôt que sexuel, alors le problème apparaîtrait dans un bras ou une jambe ou peut-être dans les doigts ou l’épaule.
D’autres situations typiques pouvant entraîner des conflits biologiques sont les situations de perte: perte d’un être cher, d’un emploi, d’un bien précieux ou d’un territoire.
Le Dr. Hamer pense que la plupart des métastases ou tumeurs secondaires sont provoquées par la peur du cancer ou la peur de la mort résultant du diagnostic de cancer ou d’un pronostic négatif. Cependant, dans ce cas aussi, le choc conflictuel consécutif n’est peut-être-pas la peur de la mort mais plutôt de la colère, du ressentiment ou un conflit de séparation d’avec son partenaire ou ses enfants, ce qui suscite l’apparition de tumeurs à différents endroits. Par ailleurs, un diagnostic de cancer du côlon entraîne fréquemment un cancer du foie à cause de la peur inconsciente de manquer de nourriture.
En général, la sensation d’impuissance, le désespoir et l’impression que tout est dénué de sens, engendrent un stress chronique, empêchant de guérir du cancer et d’autres maladies, mais ne sont pas à l’origine de ces maladies. Selon le Dr. Hamer, la véritable cause du cancer et d’autres maladies réside dans un choc traumatique inattendu pour lequel nous ne sommes pas émotionnellement préparés.
LA PHASE DE GUERISON
Le début d’un DHS ou d’une expérience de choc conflictuel est différent des autres conflits que nous connaissons dans notre vie quotidienne. Cela provoque un stress perpétuel entraînant une tendance à avoir les pieds et les mains glacés, à souffrir d’un manque d’appétit, d’une perte de poids et d’insomnies et à s’appesantir sans cesse sur la teneur du conflit en question. Si le conflit ne se résout pas rapidement, ce stress durable entraînera des symptômes spécifiques et le développement d’un cancer ou d’une autre maladie.
Lorsque le conflit est résolu, le patient ne se préoccupe plus de sa teneur, retrouve l’appétit et le sommeil et voit ses pieds et ses mains se réchauffer. Néanmoins, il peut aussi ressentir une certaine faiblesse, de la fatigue et le besoin de se reposer.
Ces effets montrent que le système nerveux parasympathique maîtrise désormais la situation. Cela marque le début de la phase de guérison, laquelle peut s’avérer longue et difficile. Durant la première partie de la phase de guérison, il y a des rétentions d’eau et des inflammations mais la tumeur cesse de grossir. Cela conduit par la suite à une crise de guérison, qu’Hamer appelle une crise épileptique ou épileptiforme parce qu’elle est due à un œdème dans la lésion cérébrale du Foyer de Hamer. Chaque maladie présente des symptômes uniques. Ensuite, le corps commence à expulser l’eau accumulée, le patient reprend peu à peu des forces et les fonctions corporelles redeviennent normales. Désormais le tissu connectif du cerveau, la glide, se met à réparer le Foyer de Hamer.
Certains radiologues conventionnels peuvent interpréter cela comme une tumeur cérébrale fulgurante et traiter le patient en conséquence.
Le Dr. Hamer estime que 99 % des événements cérébraux, tels que les attaques, les hémorragies, les kystes et les tumeurs, sont dus à des épisodes de guérison des Foyers de Hamer. Par conséquent, il les considère comme temporaires et auto-modérateurs, à moins qu’il n’y ait une intervention médicale inappropriée. Le plus important dans ces cas là est de réduire tout œdème cérébral.
Durant la crise de guérison, le patient peut, pendant une courte période, revivre le conflit psychologique initial, avec les mains froides et la transpiration glacée. Cela permet de supprimer et d’éliminer l’oedème de la lésion cérébrale et par conséquent de régulariser les autres fonctions corporelles. Le principal stade critique se situe juste avant la fin de la crise de guérison, au moment où l’on va voir si le corps est suffisamment fort pour vaincre la maladie. Dans des cas difficiles de conflit long ou important, on peut voir se développer un œdème cérébral massif, pour lequel le Dr. Hamer utilise des injections de cortisone. En médecine douée, nous préférons combiner urée et thérapies anti-inflammatoires. L’urée possède de puissantes propriétés diurétiques et se révèle très efficace en cas de pression intracrânienne dangereusement élevée. Généralement, on utilise 20 grammes d’urée 2 à 5 fois par jour.
Dans Your Own Perfect Medicine, Martha Christy (PutureMed, Inc., USA) a décrit un cas très grave de réapparition d’une tumeur cérébrale massive qui a complètement disparu dans les deux heures suivant l’administration au patient de 256 ml d’une solution contenant 30 % d’urée. Cela montre clairement que la tumeur cérébrale supposée n’était en fait qu’un gros œdème, comme l’avance la Médecine Nouvelle.
Ce que le Dr. Hamer appelle crise d’épilepsie peut être vécu par le patient sous forme de crise cardiaque, d’embolie ou d’infection pulmonaire ou encore d’hépatite. Généralement, durant la phase de guérison, le patient se sentira plus mal que lorsque la tumeur se développait activement.
Dans la première partie de la phase de guérison, lorsque le corps libère des hormones inflammatoires, la plupart des problèmes sont dus à la rétention d’eau ainsi qu’à l’inflammation et au gonflement des tissus, ce qui peut se révéler très douloureux. Hamer considère les œdèmes, qu’ils se situent dans le cerveau ou dans un organe, comme un signe positif, un signe de guérison.
REPARATION DES TISSUS
Après la crise de guérison, les adénocarcinomes sont détruits par les champignons et les mycobactéries tandis que le virus de l’hépatite peut en plus permettre de régénérer le foie. À ce stade, les bactéries, les virus et les champignons contribuant à détruire les tumeurs et à réparer les tissus endommagés provoquent par ailleurs inflammations, douleurs et fièvre.
Si vous trouvez bizarre que le Dr. Hamer considère les microbes comme des adjuvants et des amis essentiels dans la guérison du cancer, qu’allez-vous penser de sa découverte encore plus surprenante ? Dans son système ontogénétique de tumeurs et maladies de type cancer, il distingue deux processus opposés durant la phase de conflit actif. Suivant la localisation du Foyer de Hamer, dans le cerveau, il peut y avoir soit une prolifération cellulaire soit au contraire une destruction cellulaire.
Le premier groupe fait proliférer les cellules et croître la tumeur durant la phase de conflit avant de faire disparaître les cellules excédentaires avec l’aide des microbes durant la phase de guérison.
L’autre groupe provoque la destruction des cellules durant la phase de conflit, entraînant des ulcères, des nécroses et des cavités tissulâires affectant, par exemple, les os (ostéoporose), les reins, la rate ou les ovaires. Durant la phase de guérison, ce second groupe tente de combler les cavités créées en faisant proliférer les cellules. Les nécroses tissulaires et les ostéolyses (os dissous) sont maintenant réparés par les bactéries qui forment d’abord des abcès, se remplissent ensuite de tissu cicatriciel et plus tard de tissu granuleux, ce qui va former des ostéosarcomes, des lymphomes, des fibromes et des kystes guérisseurs.
Par ailleurs, on voit fréquemment apparaître une leucémie durant la phase de guérison, comme par exemple après des lésions de la moelle osseuse dues à l’irradiation, à des produits chimiques ou à un cancer des os. Selon le Dr. Hamer, ces états sont généralement auto-modérateurs et ne se déchaînent que lorsque surviennent des chocs conflictuels additionnels ou lorsque le corps est trop âgé ou trop faible ou bien encore à cause des méthodes utilisées par la médecine conventionnelle. Par contraste, la médecine douce s’attache à soutenir le corps et l’esprit durant cette période probatoire. La plupart des guérisons se déroulent sans problèmes majeurs, mais environ 10 % des patients nécessitent le soutien total d’un thérapeute expérimenté, surtout au moment de la crise de guérison.
GUERISON DU PSYCHISME
Dans chaque cas de cancer, la tâche principale consiste à découvrir le choc émotionnel initial et à s’assurer qu’il a été guéri ou qu’il est en cours de guérison. Très souvent, il se sera corrigé tout seul et le patient souffre alors d’un effet de la phase de guérison. Par exemple, une personne a peut-être perdu une exploitation ou une société mais s’est désormais lancée dans une autre entreprise satisfaisante ou un passe- temps. Suite à cela, la personne peut alors présenter une tumeur qui devient peu à peu dormante ou finit par se désintégrer. Environ 40 % des tumeurs découvertes lors d’examens médicaux de routine sont supposées être anciennes ou inoffensives, c’est-à-dire dormantes et calcifiées. Toutefois, des complications peuvent toujours survenir si une intervention médicale vient instiller un choc émotionnel lié à la peur de la mort qui réveille cette même tumeur ou en fait apparaître une autre.
Néanmoins, dans d’autres cas, le conflit initial peut être encore actif ou bien il peut exister un second conflit actif. Dans le doute, nous devons sonder chaque cas afin de découvrir le conflit initial et tout autre conflit éventuel. Nous devons revenir en arrière, jusqu’à un ou deux ans avant l’apparition de notre problème, et analyser notre histoire émotionnelle durant cette époque, ainsi qu’avant et après. La méditation ou la thérapie de régression peuvent en outre aider à découvrir ces chocs conflictuels.
Si nous manifestons toujours une forte réaction émotionnelle en découvrant la teneur du conflit, alors nous pouvons être sûrs qu’il n’est pas encore résolu/Si possible, le mieux est de le résoudre de la manière douée. Par exemple, si ce conflit était dû à la perte d’un partenaire, alors vous pourriez rencontrer quelqu’un d’autre, si vous avez perdu un enfant, vous pourriez retomber enceinte (le cancer cesse de se développer après le troisième mois car la grossesse est prioritaire) ou adopter un enfant.
Toutefois, ce n’est pas tant le fait d’être à nouveau enceinte ou d’avoir un nouveau partenaire ou animal de compagnie qui guérit que le fait d’avoir la possibilité d’accepter cette perte et de continuer notre chemin. Une personne incapable d’accomplir cela ne tirera aucun profit de la présence d’un nouveau partenaire/enfant/animal de compagnie, mais cela facilitera néanmoins la tâche à un bon thérapeute pour aider cette personne.
Si une solution naturelle n’est pas possible ou si vous n’êtes pas en mesure de consulter un thérapeute, utilisez alors la visualisation guidée, seul ou avec l’aide d’un partenaire ou d’un ami intime. Dans un état de relaxation et de méditation, recréez et revivez le conflit aussi intensément que possible, mais remplacez ensuite l’issue par une issue souhaitable ou acceptable. Imaginez et ressentez cette nouvelle issue de façon aussi vivante et détaillée que possible. Visualisez la scène, ressentez-la et allez même jusqu’à en entendre les sons et en sentir les odeurs. L’expérience originale a peut-être laissé en vous des souvenirs de détails n’ayant aucun rapport avec l’épreuve que vous avez vécue (pistes), face auxquels vous risquez maintenant de développer des réactions allergiques.
Vous pouvez essayer de les surmonter de la même manière grâce à la visualisation guidée. Si aucune de ces méthodes n’est possible parce que vous avez l’impression que vous devez poursuivre vos devoirs actuels ou continuer à supporter votre épreuve pour telle ou telle raison, alors seule une compréhension spirituelle avancée et une acceptation pourront vous aider. Dans tous les cas, soyez conscient de vos vulnérabilités et évitez tout choc conflictuel supplémentaire – s’il en survient un malgré tout, évacuez-le aussi rapidement que possible.
En outre, je suis convaincu que tous les conflits actifs prendront fin et que la phase de guérison commencera lorsque nous serons capables de ressentir un immense sentiment d’amour et de pardon au fond de nous et d’en irradier les autres, en particulier les personnes à qui nous reprochons de nous avoir fait du mal. Nous pouvons aussi faciliter la phase de guérison en espérant qu’elle soit courte et clémente et nous conduise à un complet rétablissement. Selon le Dr. Hamer, dans la nature, les animaux développent des cancers à cause de programmes biologiques similaires aux nôtres. Toutefois, 80 à 90 % survivent et ne s’aperçoivent de rien parce que la phase de guérison peut suivre son cours naturel.
Ceux qui meurent sont principalement des vieux animaux incapables de résoudre un conflit, en reconquérant par exemple le territoire que leur a volé un rival ou en remplaçant un petit qu’ils ont perdu. Dans notre société, c’est différent, étant donné que l’on entrave souvent le processus de guérison naturelle. Cela commence par la prise de tranquillisants ou d’antidépresseurs durant la phase de conflit actif, ce qui nous empêche de réagir et de reconquérir notre .territoire. Cela peut alors conduire à un diagnostic de cancer qui provoque un conflit actif additionnel et peut finir par la prescription de morphine, qui désactive totalement nos réactions de guérison.
Même si le Dr. Hamer ne croit pas que les aliments naturels, les remèdes ou un mode de vie pur et sain en général puissent guérir le cancer, ils peuvent néanmoins jouer un rôle important pour nous aider à survivre aux épreuves de la phase de guérison.
À vrai dire, le Dr. Hamer estime que toutes les maladies se composent de deux phases: une phase de conflit actif initial, suivie (si possible) d’une phase de guérison qui inverse le programme conflictuel. Il ne les appelle plus maladies mais, plutôt, programmes biologiques spéciaux. Il est supposé avoir travaillé avec plus de 31000 patients et avoir toujours vu ses théories se confirmer sans la moindre exception. Il affirme qu’en général la Médecine Nouvelle affiche un taux de réussite de 95 % dans le renversement du cancer dans des conditions idéales, c’est-à-dire une résolution rapide du conflit, aucun nouveau conflit et aucune interférence de la médecine conventionnelle. Cependant, beaucoup de patients souffrant de maladies à un stade avancé peuvent s’avérer incapables de résoudre leurs conflits ou le faire trop tard, et donc ne pas réagir au traitement.
PERSECUTION DU Dr HAMER
Siemens, fabricant du scanner, a vérifié de son côté l’existence de Foyers de Hamer dans le cerveau. En outre, en 1998, l’Université de Tmava en Slovaquie a confirmé la valeur de diagnostic de ces mêmes Foyers de Hamer. Néanmoins, le Dr. Hamer a été victime d’une persécution sans précédent. En vertu du droit allemand, on peut rayer un praticien de l’ordre des médecins si ses facultés mentales se sont amoindries. Cette loi a été utilisée en 1986 par une cour de district allemande afin de rayer le Dr. Hamer de l’ordre des médecins. Comme preuve de son état mental soi-disant inadéquat, la cour a affirmé qu’il refusait de revenir sur ses théories et de jurer allégeance aux principes de la médecine orthodoxe.
Pire encore, la cour a découvert des preuves montrant qu’il était incapable de se convertir aux principes de la médecine orthodoxe. Il avait essayé de convaincre un groupe d’éminents professeurs de l’exactitude de ses théories un mois à peine avant le procès ! Un an plus tard, cette même cour a demandé un examen psychiatrique de ses facultés mentales, ce que le Dr. Hamer a refusé. Sans l’avoir même jamais vu, un psychiatre nommé par la cour a diagnostiqué que c’était un psychopathe !
En 1997, le Dr. Hamer a été arrêté et emprisonné pendant 18 mois en vertu d’une loi obscure sur la médecine naturelle introduite sous Adolf Hitler en vue d’éliminer les Gitans. On lui reprochait d’avoir donné gratuitement des conseils à des personnes qui lui avaient demandé son avis. Le procureur de la république a ouvertement affirmé que tout devait être mis en œuvre afin de débarrasser la société du Dr. Hamer. Comparez cela à un report de 13 ans du procès de l’assassin de son fils suivi d’une peine de seulement six mois en liberté surveillée. Le fait que l’accusé ait été le Prince de Savoie, le fils du dernier roi d’Italie, n’était peut-être pas étranger à la clémence de cette peine.
Depuis 1999, le Dr. Hamer vit en Espagne car les tribunaux allemands, autrichiens, français et suisses veulent désormais le poursuivre. Ils affirment en effet que certains patients atteints de cancers sont morts parce qu’ils auraient suivi ses conseils. Selon ce raisonnement, le Dr. Hamer est un massacreur parce qu’il a refusé à ces patients le traitement supposé sans risque et efficace proposé par la médecine orthodoxe.
En outre, un procureur de la république a intenté un procès contre le Dr. Hamer pourune grosse somme d’argent parce qu’il avait déconseillé la chimiothérapie à un patient. Autre exemple, les parents d’une fillette, Olivia Pilhar, qui avait été traitée par le Dr. Hamer, ont écopé d’une peine de prison de huit mois avec sursis pour avoir temporairement refusé la chimiothérapie pour leur fille. On leur avait ensuite retiré la garde de la fillette à qui l’on avait imposé une chimiothérapie contre leur volonté. Cela peut arriver n’importe où dans le monde occidental. En Australie, une mère m’a récemment confié qu’elle ne croyait pas à la chimiothérapie et aurait préféré avoir recours à la médecine naturelle pour sa fille atteinte de leucémie mais qu’elle avait dû accepter la chimiothérapie parce que son médecin traitant avait menacé de la poursuivre en justice si elle refusait.
Il n’existe aucun cancérologue au monde qui n’ait vu mourir des patients dont il s’occupait. Cependant, même dans des cas avancés, le taux de réussite du Dr. Hamer est exceptionnellement élevé. On a comparé cette chasse aux sorcières au destin du Dr. Semmelweis, qui avait suggéré que les chirurgiens devraient se laver les mains avant toute opération et avait été envoyé dans un asile psychiatrique où il était décédé à l’âge de quarante-sept ans.
Le Dr. Hamer a échappé à huit tentatives d’assassinat et les médias en Allemagne en parlent comme d’un criminel dérangé. Bien que de nombreux médecins, dont des professeurs, aient vérifié les principes de la Médecine Nouvelle, aucune université allemande n’a jusqu’à présent accepté de les tester, malgré une ordonnance de la cour exigeant que l’Université de Tûbingen réalise de tels tests.
En Europe, les médecins et les thérapeutes qui exercent selon les principes de la Médecine Nouvelle font l’objet de persécutions. En Autriche, en Belgique, en France, en Allemagne et en Espagne, les autorités ont lancé des poursuites à rencontre de ces praticiens afin de les rayer de l’ordre des médecins. Les procès durent depuis des années. Seuls les tribunaux espagnols ont sagement décidé que ce n’était pas à eux de trancher entre des thérapies et des théories médicales conflictuelles.
La réaction violente des pouvoirs établis est compréhensible parce qu’une connaissance et une application étendues de \z Médecine Nouvelle sonneraient la fin du complexe médicopharmaceutique.
Toutefois, en 2001 un éminent neurologue a ouvertement défendu le Dr. Hamer en publiant un livre sur la Médecine Nouvelle et en exigeant que ses théories soient testées officiellement. Le Dr, Thérèse von Schwarzenberg appartenant à la haute noblesse, les médias ne savent quelle position adopter. Jusqu’à présent, ils n’ont fait que parier du Dr. Hamer de la façon la plus désobligeante qui soit, et voilà maintenant une personnalité très en vue qui affirme que le Dr. Hamer est dans le vrai et mérite un Prix Nobel !
Néanmoins, la réponse officielle des grands oncologues reste qu’il est totalement absurde de supposer que les émotions pourraient jouer un rôle important dans l’apparition et la guérison du cancer et que, par conséquent, il n’y a pas lieu de tester les théories du Dr. Hamer.
REFLEXIONS SUR LES DECOUVERTES DU Dr HAMER
Mon propre jugement et ma propre expérience ne laissent planer aucun doute sur l’importance capitale de nos émotions et de nos croyances dans l’apparition et la guérison de nos maladies. En outre, les écrits du Dr. Hamer donnent l’impression d’un chercheur sérieux et méticuleux dont les découvertes ont été confirmées par diverses institutions scientifiques et plusieurs praticiens, dont des professeurs en médecine. Seuls ceux qui refusent d’examiner ses preuves continuent à le dénoncer. Par conséquent, je n’ai aucun doute sur la validité de ses préceptes de base, à savoir, que des maladies spécifiques, et les cas de cancers en particulier, sont associées à des lésions visibles de zones cérébrales précises ainsi qu’à des expériences psychologiques spéciales. Son postulat d’un processus pathologique en deux parties, dans lequel la phase de guérison est un renversement des conditions pathologiques initiales, est un concept de base des thérapies naturelles.
Cependant, le Dr. Hamer ne semble pas vouloir étendre ou modifier sa théorie pour prendre en compte d’autres possibilités. En fait, il suggère une communication unilatérale du psychisme vers l’organe via le cerveau tandis que je suggère plutôt une communication bilatérale du psychisme vers l’organe ainsi que de l’organe vers le psychisme, toujours en passant par le cerveau.
J’aimerais expliquer ma théorie à l’aide d’un exemple. J’ai entendu dire que le taux de mortalité par cancer du sein en Chine était d’un sur 10000, contre environ un sur 10 dans la plupart des pays occidentaux. Le Professeur Jane Plant s’est aperçu que, contrairement aux femmes occidentales ou occidentalisées, les Chinoises ne consommaient pas de lait animal ou de produits dérivés. « A ce stade, elle souffrait pour la cinquième fois d’un cancer du sein et on la croyait perdue. Elle décida donc d’éviter tous les produits laitiers et peu de temps après sa tumeur disparut. Cela fait maintenant 13 ans qu’elle est débarrassée du cancer (voir Your Life in Your Hands de Jane Plant, chez Virgin, UK, 2000).
Les Chinoises présentant des taux normaux des autres formes de cancers, il doit bien y avoir un facteur spécifique expliquant ces faibles taux de cancer du sein. En supposant qu’il s’agisse réellement du lait, j’appliquerais le raisonnement suivant.
Le lait est riche en facteur de croissance insulinomimétique de type 1 (IGF-1), qui stimule le développement des tissus mammaires pendant la puberté et la grossesse. L’IGF-1 est également présent dans la chair des vaches laitières et stimule aussi apparemment d’autres cancers liés aux hormones, dont celui de la prostate. En supposant que cela entraîne une stimulation constante peu élevée des tissus mammaires et de la zone cérébrale associée chez les femmes consommant du lait ou des produits laitiers, deux possibilités apparaissent.
1. Les zones cérébrales sensibilisées feront que la femme aura une réaction émotionnelle bien plus forte que la normale face à tout conflit avec un enfant ou un partenaire, et cela entraînera le développement plus fréquent d’un cancer du sein chez les femmes consommant du lait.
2. Il existe une situation conflictuelle subaiguë ou un événement passé encore inconsciemment actif. La stimulation combinée persistante due à un conflit subaigu en plus de l’IGF-1 peut entraîner le développement progressif d’un Foyer de Hamer ou bien son apparition soudaine lorsqu’un certain seuil est franchi.
Ainsi, n’importe quel facteur environnemental peut être pris en compte dans l’apparition de Foyers de Hamer en association avec des conflits psychologiques. À l’heure actuelle, beaucoup de gens ont un mode de vie très malsain, en plus d’avoir hérité de gènes de mauvaise qualité. Il se peut très bien que des personnes réellement saines ne développent jamais de Foyer de Hamer en réaction à un choc émotionnel inattendu, ou que cela se limite à une manifestation bénigne qui se guérira toute seule.
De même, une thérapie naturelle appropriée, ciblée sur un organe malade, peut transmettre un message à la zone cérébrale associée qui aide à guérir le Foyer de Hamer et finit par conduire à une résolution du conflit émotionnel. On peut trouver une confirmation de l’interconnectivité supposée entre les émotions, les nutriments, le cerveau et les organes dans la kinésiologie.
Les recherches effectuées sur les tests musculaires ont révélé une relation entre différents nutriments et différentes émotions d’une part et des muscles et des organes spécifiques d’autre part, transmise par le biais du système de méridiens utilisé en acupuncture. Toutefois, l’une des découvertes les plus étonnantes réside dans l’implication directe du cerveau. Lorsque l’on a placé un nutriment radioactif au fond de la bouche, l’isotope a également été détecté dans le cerveau en à peine quelques secondes.
Je pense que la résolution des conflits peut aussi survenir de façon non spécifique. En supposant qu’un patient reçoive un choc conflictuel dû à un diagnostic de cancer, alors ce conflit – et peut-être également le choc conflictuel initial – pourra être résolu si le patient est convaincu que le traitement suivi va le guérir. D’autres possibilités ont été suggérées dans le paragraphe intitulé « Guérison du conflit psychique. »
Vous pouvez visiter le site Internet officiel du Dr. Hamer en anglais à l’adresse http://www.newmedicine.ca
Cependant, le site en allemand, http://www.pilhar.com qui comporte aussi une petite section en anglais, recèle bien plus d’informations. Le Dr. Hamer a écrit plusieurs livres, dont l’un est disponible en anglais sous le titre Summary of the New Medicine.
Article écrit par Walter Last biochimiste et chercheur dans les départements de médecine de plusieurs universités allemandes ainsi qu’aux laboratoires Bio-science de Los Angeles, aux Etat Unis, et plus tard comme nutritionniste et thérapeute en Nouvelle Zélande et en Australie.
Article tiré du magazine Nexus n°29 de novembre décembre 2003
Traduction : Christèle Guinot
La liste suivante montre quelques unes des relations entre les émotions conflictuelles et les organes touchés :
Cortex surrénal : mauvaise direction, égarement
Vessie : conflit terrible, coups tordus
Os : manque d’estime de soi, sentiment d’infériorité
Glande mammaire : souci ou manque d’harmonie
Conduit lactifère : séparation
Sein gauche : (chez les droitières) conflit relatif à un enfant, au foyer ou à la mère
Sein droit : (chez les gauchères) conflit avec les partenaires ou autres
Bronches : conflit territorial
Col de l’utérus : grave frustration
Côlon : conflit terrible, dur à avaler
Vésicule biliaire : rivalité
Coeur : conflit perpétuel
Intestins : grosse accumulation de colère
Reins : refus de vivre, conflit avec l’eau ou un liquide
Larynx : peur et effroi
Foie : peur de manquer de nourriture
Poumon : peur de mourir ou de suffoquer, pour soi même ou pour quelqu’un d’autre
Ganglions lymphatiques : perte d’estime de soi liée à l’emplacement
Mélanome : impression d’être sale, suoillé, sali
Oreille moyenne : incapacité à saisir des informations vitales
Bouche : quelque chose de dur à avaler ou à garder pour soi
Oesophage : quelque chose d’impossible à avoir/avaler
Pancréas : anxiété, colère vis à vis de membres de la famille, d’un héritage
Prostate : conflit terrible avec des associations ou des connections sexuelles
Rectum : peur d’être inutile
Peau : perte d’intégrité
Rate : choc de se voir blessé, physiquement ou émotionnellement
Estomac : colère impossible à digérer, sentiment d’avoir avalé trop de choses
Testicules et ovaires : sentiment de perte
Thyroïde : sentiment d’impuissance
Utérus : conflit sexuel
Voici d’autres maladies spécifiques associées à des émotions conflictuelles :
Sida : le Dr. Hamer observe qu’aucune personne n’est jamais morte du sida sans s’être auparavant entendu dire qu’elle était séropositive ou avoir cru l’être. Cela signifie que, tout comme avec le cancer, c’est la perception négative associée au sida qui provoque son effet dévastateur.
Angine de poitrine : causée par un conflit territorial en phase active, et infarctus en phase de guérison.
Diabète et hypoglycémie : l’anxiété et la répugnance entraîneront une hypoglycémie chez une femme droitière mais un diabète insulinodépendant chez une femme gauchère. Une résistance ou une lutte contre quelque chose entraînera un diabète insulinodépendant chez un homme droitier mais une hypoglycémie chez un gaucher.
Paralysie faciale : peur de perdre la face, de s’être couvert de ridicule.
Hémorroïdes : conflit d’identité chez les femmes droitières et colère territoriale en phase de guérison chez les hommes gauchers.
Infarctus : lutte pour son territoire ou ce qu’il renferme.
Sclérose en plaques et paralysie : impossibilité de s’échapper, de continuer ou de tenir bon, ou sentiment de ne pas savoir que faire.
Psoriasis : séparation d’avec la mère, le père, la famille, le foyer, les amis ou les animaux familiers.
Psychoses : les psychoses de toutes sortes ont un ou plusieurs Foyers de Hamer actifs dans chacune des deux parties du cerveau.
Rhumatisme : séparation brutale provoquant une douleur ou une souffrance.
Vitiligo, Leucoderme : conflit terrible ou séparation brutale.
Remarques sur la dextralité :
Les gauchers développent des problèmes du côté opposé à celui des droitiers. La dextralité peut être testée en observant quelle est la main qui se trouve sur le dessus lorsque l’on applaudit, c’est la main principale. Chez les droitiers, tous les muscles du côté droit du corps sont liés aux partenaires et éventuellement à d’autres personnes tandis que tous les muscles du côté gauche sont liés aux enfants ou à sa propre mère. Ces conditions peuvent se modifier avec les changements hormonaux, ainsi qu’avec la prise de la pilule contraceptive ou encore l’arrivée de la ménopause