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Les plantes sont-elles conscientes ?


 

Les émotions et les capacités supra sensorielles
Les plantes semblaient avoir des réactions émotionnelles lorsque Cleve Backster les a testées avec un détecteur de mensonges en 1966.

 

Cleve Backster est un ancien spécialiste en détecteur de mensonges de la CIA, qui a développé des techniques avec l’oscillographe toujours utilisées par les agences gouvernementales et militaires des États-Unis. Il a fait des expériences sur des plantes d‘agave (Dracaena) décrites dans le livre « La vie secrète des plantes ».

 

Par exemple, il a mis deux plantes l’une à côté de l’autre et les a reliées au détecteur de mensonges. Ensuite, il a demandé à une personne de piétiner l’une d’entre elles en présence de l’autre. Lors de cette action, l’oscillographe a montré que la plante qui en avait été témoin, était effrayée.

 

 

 

 

 

Marcel Vogel a poursuivi les expériences de Cleve Backster et a montré que les plantes semblaient avoir des pensées.

 

Pendant 27 ans, M. Vogel travaillait comme principal scientifique chez IBM et a breveté plus de 100 inventions. Lors de sa carrière, il s’est intéressé à l’application organique de ses connaissances scientifiques.

 

Il a testé les courants électriques émis par les plantes et a découvert que les plantes réagissaient d’une façon spectaculaire lorsqu’il augmentait la fréquence de sa respiration ou fixait une idée dans son esprit, par rapport à l’état de son esprit quand il était calme et sa respiration lente.

 

Dan Willis, son ancien associé de recherche, a expliqué les expériences de M. Vogel sur son site MarcelVogel.org.

 

Il y écrit : « La réaction des plantes à la pensée était la même, peu importe la distance : 20 centimètres,  2 mètres  ou 13 000 kilomètres. Il l’a prouvé depuis Prague en Tchéquie, en étant en mesure d’affecter la plante connectée a un enregistreur dans son laboratoire à San Jose. »

 

 

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Un sens communautaire
Suzanne Simard, professeur d’écologie à l’Université de la Colombie-Britannique, a déclaré à la BBC : « Nous n’avons pas traité [les plantes] … avec le respect dû aux  êtres sensibles. » Elle l’a expérimenté avec des sapins de Douglas et a constaté qu’ils pouvaient reconnaître leur propre famille en grandissant dans l’entourage des sapins « étrangers » ou appartenant à leur famille.

 

Les arbres semblent également être en mesure de savoir quand ils étaient en train de mourir et ils propageaient leur carbone dans les pins d’à côté.

 

« Je pense que les sapins de Douglas savaient qu’ils allaient mourir et voulaient passer leur héritage de carbone à leurs voisins, car cela serait bénéfique aux champignons et autres espèces qui les accompagnent », a précisé Mme Simard.

 

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Mémoire à long terme et apprentissage

L’année dernière, la Dr Monica Gagliano à l’Université de l’Australie-Occidentale a publié une étude dans la revue Oecologia examinant la mémoire à long terme des plantes. Elle a fait tomber d’une certaine hauteur des pots avec des plantes de Mimosa Pudica sur de la mousse de rembourrage, ce qui pouvait choquer les plantes, mais pas leur nuire.

 

Elle a pu observer leurs réactions et a constaté que les plantes avaient finalement appris que la chute ne leur ferait pas du tort. Les plantes ont une mémoire à long terme leur permettant de se souvenir de ce qu’ils ont  appris.

 

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